Au delà de ces valeurs apparaît une hyperviscosité sanguine. On peut aussi observer une dysglobulinémie de ce type au cours de LLC ou de LMNH. entraînent des troubles hématologiques évocateurs : pancytopénie avec anémie régénérative (par hémolyse acquise), schizocytose et érythromyélémie. Elle s’accompagne habituellement d’une microcytose donc d’une diminution de la CGM au dessous de 30%. Margination : propriété des polynucléaires sanguins de se coller momentanément aux parois vasculaires. Clinique MD-Plus à Montréal 514-313-5970 x 53445. Corps d’Auër : petite inclusion intracytoplasmique ayant la forme d’un bâtonnet  rouge vif, observable dans les leucémies aiguës myéloblastiques. Lymphocytose : augmentation du nombre de lymphocytes dans le sang (>5.000/µl chez l’adulte, >8.000/µl chez l’enfant). Bicytopénie : diminution dans le sang périphérique des éléments de 2 lignées médullaires sur 3, par exemple anémie et neutropénie (plaquettes normales) ou anémie et thrombopénie (polynucléaires normaux). Biopsie : prélèvement d’un fragment d’un organe sous anesthésie générale pour une analyse. Les échantillons de sang prélevés pour des tests sanguins de cancer sont analysés en laboratoire pour rechercher des signes de cancer. Il existe de rares anémies hémolytiques acquises non auto-immunes, par altération des hématies par des produits divers : médicaments, protéines sécrétés par des cellules métastatiques (métastases médullaires). On en distingue 3 catégories : Syndromes mononucléosiques : anomalies sanguines comparables à celles de la mononucléose infectieuse, rencontrées dans diverses maladies virales telles que la rubéole, l’hépatite virale, le cytomégalovirus, le virus HIV ou une maladie parasitaire la toxoplasmose. L’hyperleucocytose avec myélémie est habituellement très importante (>50.000/µl). Lymphocyte villeux : on peut observer dans le sang des lymphocytes portant des villosités à un pôle de la cellule, dans certains lymphomes malins spléniques. Syndromes lymphoprolifératifs (SLP) : prolifération monoclonale maligne de cellules lymphoïdes, dans le sang, la moelle ou les ganglions. Myélémie : passage dans le sang d’éléments granuleux immatures. Une désinfection soigneuse est assurée. L’augmentation des plaquettes peut être primitive (thrombocytémie) ou secondaire à des maladies diverses. Un taux élevé dans la moelle (>20%) caractérise les leucémies aiguës. Polynucléaire éosinophile : cf. Primitive elle est due à un déficit immunitaire congénital. une thrombopénie, une hyperleucocytose modérée avec érythromyélémie. Elle se manifeste dans le sang par une thrombocytose généralement >1.000.000/µl, avec présence d’un grand nombre de mégacaryocytes plus ou moins dystrophiques dans la moelle osseuse. Positron emission tomography scanner (PET SCAN) : examen d’imagerie médicale qui permet la localisation des foyers pathologiques exprimant une activité métabolique élevée. De nouveaux boutons peuvent apparaître pendant 3 à 4 jours. Cette anomalie peut être exceptionnellement congénitale (on parle d’anomalie de Pelger-Huet), plus souvent elle est acquise et due à une myélodysplasie. Elles s’observent après splénectomie, lors d’une régénération d’anémie, au cours de syndromes inflammatoires chroniques, dans des cancers étendus ou métastasés. Leucémie myéloïde chronique (LMC) : prolifération médullaire de la lignée granuleuse avec passage dans le sang de précurseurs des polynucléaires (myélémie). Programme personnalisé de soins (PPS) : programme qui synthétise le parcours thérapeutique prévisionnel du patient et ces lieux de prise en charge. SMP : cf. Drépanocytose : maladie congénitale atteignant des sujets de race noire caractérisée par une hémoglobine anormale (hémoglobinose S). ASIA (anémie sidéroblastique idiopathique de l’adulte) : myélodysplasie primitive caractérisée par une anémie de type « anémie réfractaire Â», une hyperplaquettose et dans la moelle une érythroblastose avec des sidéroblastes en couronne. Si vous rêvez du jour où une prise de sang se fera sans aiguille, sachez qu'il n'est peut-être pas si loin. Mucite : inflammation douloureuse de la bouche et de la gorge voire du tube digestif, le plus souvent secondaire au traitement par chimiothérapie. Polynucléaires neutrophiles (PNN) : cellules du sang appartenant à la famille des globules blancs. SAVIEZ-VOUS ?CANSEARCH est une fondation entièrement dédiée à financer des travaux de recherche scientifique pour les cancers et maladies du sang chez l'enfant. à cela il faut ajouter une trame de soutien. La future maman peut être anémiée notamment en cas de grossesse rapprochée. La gravité de la maladie est liée aux troubles osseux (décalcification et géodes) responsables d’une hypercalcémie, d’une insuffisance rénale et d’une anémie. On distingue les myélodysplasies primitives et les myélodysplasies secondaires. Du Lundi au vendredi : 7h00 - 16h00 Samedi : Fermé Dimanche : Fermé. Composez le 1 833 255-1995 ou le 819 565-4845, mais seulement pour les situations ci-dessous : Schizocytose : présence de schizocytes dans le sang à un taux supérieur à 1%. Numération formule sanguine : examen qui se fait par prélèvement sanguin et qui permet de quantifier les différentes cellules du sang: les globules rouges, les globules blancs, les plaquettes. Leucémies aiguës : prolifération monoclonale de cellules hématopoïétique jeunes (blastes) bloquées à un stade plus ou moins avancé de différentiation. LAL : cf. On compte dans la moelle osseuse 3 lignées cellulaires qui sont : LLC : cf. Plus il est élevé plus le noyau est gros. Prélèvements et prises de sang; Prélèvements et prises de sang. Elle peut être due à une neutropénie ou à une lymphopénie, ou les deux. On trouve ce type de cellule très caractéristique dans un lymphome malin dit de Burkitt et dans la LAL3. Ponction lombaire (PL) : prélèvement de liquide céphalo-rachidien (LCR) réalisé par piqûre entre deux vertèbres au niveau lombaire sous anesthésie générale. Une prise de sang permet de le déterminer. Ils sont observés lors des hémolyses congénitales, notamment dans les enzymopathies. MEOPA : gaz relaxant (mélange à parts égales d’oxygène et de protoxyde d’azote) que l’enfant respire dans un masque avant un examen ou un soin. anémies hémolytiques congénitales). On peut aussi observer, temporairement, des cellules de Sézary à un taux dépassant 10%. Prise de sang en clinique privée. On les rencontre dans les myélodysplasies et après splénectomie. Polychromatophilie : hématies de coloration variées. Chambre implantable ou DAVI (Dispositif d’Accès Intraveineux) : dispositif placé sous la peau lors d’une anesthésie générale au bloc opératoire et laissé en place le temps du traitement. On en distingue 4 aspects différents : Myélodysplasies secondaires : Les myélodysplasies secondaires peuvent être dues à la sénescence (grand vieillard), à des carences vitaminiques en acide folique ou en vitamine B12 (maladie de Biermer), aux chimiothérapies anticancéreuses. Sphérocytes : hématies en forme de « sphère Â» et non plus en forme de « disque Â» (coloration homogène sur les frottis). Elle est caractérisée par la forme ovalaire des hématies intéressant 100% des GR dans la forme homozygote, 50% de celles-ci dans le forme hétérozygote. les polynucléaires basophiles, très peu nombreux dans le sang, qui sécrètent de l’histamine dans les tissus inflammatoires. Hyperleucocytose : augmentation des globules blancs sanguins au dessus de 11.000/µl. Elliptocytes (ou ovalocytes) : hématies elliptiques ou ovalaires. Mégalocytes (mégalocytaire) : Très grosses hématies, souvent ovalaires, dont le VGM excède 120 µ3, observées dans les myélodysplasies, surtout dans la maladie de Biermer où elles peuvent contenir un ou plusieurs corps de Jolly. Immunoblaste : lymphocyte activé, à cytoplasme basophile, observé lors des réactions immunitaires. Lympho-plasmocyte : cellule lymphoïde B, à noyau excentré, dont la morphologie est intermédiaire entre le lymphocyte et le plasmocyte. Les hématies : anémie macrocytaire. Morphine : cette substance extraite des fleurs de pavot est l’un des médicaments les plus utilisés pour traiter la douleur grâce à ses vertus analgésiques puissantes. Elle traduit généralement une déshydratation. Elle se manifeste dans le sang par une anémie non régénérative avec de nombreuses déformations des hématies (dacryocytose, schizocytose, etc.) Sézary (cellules de) : lymphocytes à noyaux encochés, incisés ou multilobés. Insuffisance médullaire : cf. Prise de sang Pour vous aider dans le suivi et dans le diagnostic de nombreuses pathologies, plusieurs de nos succursales ont les ressources et le matériel nécessaires pour effectuer des prélèvements sanguins. On l’observe au cours de divers types d’anémies, avec une prédilection pour les anémies hémolytiques. La formule est contrôlée avant de commencer une cure et ensuite de manière régulière pendant toute la durée du traitement. Première clinique médicale entièrement privée au Québec, Clinique MD-Plus vous offre tous les services de première ligne dont vous avez besoin dans une ambiance détendue et avec une attention personnalisée. les IgA, spécifiques des tissus lymphoïdes des muqueuses aéro-digestives. leucémies aiguës lymphoblastiques. On vous simplifie la vie pour vos prélèvements! Voici des informations pour comprendre les étapes du prélèvement sanguin et pour vous aider à vous y préparer. polynucléaires et éosinophilie. Un hématocrite supérieur à 60% est une urgence hématologique (nécessité de saignées). Il existe souvent une thrombopathie et une hyperviscosité sanguine. Réservation en ligne Une maladie vasculaire sous-jacente, courante chez les personnes plus âgées atteintes de la maladie de Vaquez (MV), peut augmenter le risque de Syndromes myéloprolifératifs (SMP) : prolifération monoclonale maligne d’une lignée médullaire ou de la trame de soutien. Polynucléaire basophile : cf. anomalies de l’hémoglobine (hémoglobinopathie), de loin les plus fréquentes. L’évolution spontanée des leucémies chroniques est longue (plusieurs années) d’où leur nom. sa traduction sanguine est une anémie hémolytique avec présence dans le sang de drépanocytes dont le nombre dépend du caractère homozygote ou non de la maladie. Splénectomie : la splénectomie laisse comme stigmates sanguins une thrombocytose et la présence de corps de Jolly dans les hématies. Il permet d’analyser le sang, pour diagnostiquer certaines maladies. Un excès de margination peut être responsable d’une fausse neutropénie car seuls les polynucléaires circulants sont comptabilisés dans la NFS. Dysglobulinémies non myélomateuses : anomalie monoclonale d’une des immunoglobulines sans prolifération tumorale lymphoïde. Anémie : diminution du nombre de globules rouges dans le sang (baisse du taux d’hémoglobine) qui amènent l’oxygène aux organes. Il peut s’agir de cellules myéloïdes (leucémie myéloïde chronique) ou lymphoïdes (leucémie lymphoïde chronique). Cet examen est indolore et ne nécessite pas de préparation (à jeun dans certains cas). Les symptômes sont la fièvre et une sensation de fatigue au début, ensuite apparaissent une éruption cutanée et des démangeaisons particulièrement au niveau du visage, de la tête et de la poitrine puis sur les jambes et les bras. Leur production et leur nombre sont fonction des besoins mais ils constituent la population la plus importante des leucocytes sanguins (plus de 60%). Dysglobulinémies myélomateuses : ensemble de syndromes lymphoprolifératifs se caractérisant par la présence d’une anomalie monoclonale maligne des immunoglobulines. Waldenstrøm (maladie de). Leucémies aiguës lymphoblastiques (LAL) : prolifération monoclonale de lymphoblastes. Ses valeurs normales sont de 36% à 49% chez la femme, de 40% à 54% chez l’homme. Ce taux permet de déterminer le mécanisme des anémies : Schizocytes : hématies fragmentées prenant des formes diverses, depuis l’hématie vacuolisée jusqu’au débris d’hématie en passant par l’hématie en « chapeau de gendarme Â». On distingue trois types de catécholamines: dopamine, adrénaline et noradrénaline. La contagion est possible 4 jours avant l’apparition des vésicules jusqu’à l’assèchement des boutons et la formation de croutes. Pour certains, la prise de sang n’est pas douloureuse tandis que pour d’autres, elle est source d’une grande anxiété en prévision de cette douleur. Hématies en cible (target cells) : hématies en forme de cocarde. Mononucléose infectieuse (MNI) : maladie infectieuse due au virus d’Epstein-Barr (EBV). D’abord, certaines maladies, comme le cancer du poumon, ne peuvent être diagnostiquées par une prise de sang. Les anémies centrales sont par définition non régénératives (diminution du taux de réticulocytes). Radiographie : examen d’imagerie qui permet de faire des clichés d’une partie du corps tels que les poumons, les os, les articulations, etc. anomalie ou déficit d’un des enzymes glycolytiques de l’hématie (déficit en G6PD, déficit en Pyruvate-kinase). Il est posé au bloc opératoire sous anesthésie générale et est laissé en place pendant toute la durée du traitement. Ces lésions ressemblent à des aphtes. Analyse de la glycémie : le taux de sucre dans le sang Analyse de la protéinurie sur 24 heures Analyse de la toxoplasmose les IgG, les plus nombreuses, synthétisées par les plasmocytes. Salut jeune piqueur, aujourd'hui je suis avec Aurélien pour t'expliquer comment effectuer un prélèvement sanguin. Globule blanc : cellule du sang appelée aussi leucocyte qui participe à la défense de l’organisme. Marqueurs tumoraux : substances secrétées par les cellules tumorales. Leucémie à lymphocytes granuleux : syndrome lymphoprolifératif comportant une hyperlymphocytose sanguine et médullaire, faite de lymphocytes contenant dans leur cytoplasme des grains en petit nombre (une douzaine au maximum). Scanner, appelé aussi tomodensitométrie (TDM) : technique d’imagerie médicale radiologique qui permet de visualiser un organe ou un tissu, en 2 ou 3D et d’obtenir des coupes. Antipyrétique : qualifie un moyen ou un médicament ayant la propriété de faire baisser la fièvre. Un hématocrite supérieur à 60% est une urgence hématologique (nécessité de … Les anémies centrales sont dues à un défaut de production des globules rouges par la moelle osseuse. Il existe dans cette maladie une métaplasie myéloïde de la rate, d’où le nom de « splénomégalie myéloïde Â» donné parfois à l’OMS. Vos soumissions sont anonymes, de ce fait aucune réponse ne pourra être apportée. Waldenstrøm (maladie de) : dysglobulinémie monoclonale caractérisée par une élévation de l’IgM (macroglobulinémie) avec abaissement des Ig normales et une infiltration lymphoïde de la moelle par des lympho-plasmocytes. Moschowitz (maladie de) : purpura thrombotique thrombopénique avec schizocytose sanguine. les IgM, ou macroglobulines, de fort poids moléculaire, synthétisées par les lympho-plasmocytes. Basophilie : augmentation du nombre de polynucléaires basophiles dans le sang (>200/µl). Les dysglobulinémies peuvent être myélomateuse ou non myélomateuses. Il existe aussi habituellement une neutropénie par hypersplénisme. Une prise de sang est un prélèvement sanguin réalisé le plus souvent dans une veine du bras, à l'aide d'une aiguille. leucémie lymphoïde chronique. Personnaliser les traitements, minimiser la toxicité secondaire, améliorer l'espérance de vie et leur qualité de vie sont les objectifs de la Fondation. Les hématies normales vivent environ 120 jours. Ce que votre médecin recherche dans votre prise de sang. Très peu circulent dans le sang. Purpura thrombopénique idiopathique (PTI) : thrombopénie importante et inopinée faisant courir un risque hémorragique immédiat (urgence hématologique) si la chute des plaquettes est rapide et descend au dessous de 20.000/µl. taux élevé dans les anémies périphériques dites « régénératives Â». celui d’une très grande cellule « réticulaire Â», à cytoplasme hyalin blanc, ne contenant aucune granulation, à bords frangés et ondulants se moulant sur les hématies environnantes, à noyau uniforme, ovalaire, d’aspect finement spumeux, parfois abîmé à un de ses pôles, cet aspect, qui ne ressemble à rien d’autre en cytologie sanguine, est particulièrement évocateur du diagnostic. L’irradiation a pour but de détruire toutes les cellules tumorales tout en épargnant les tissus sains périphériques. Normalement on compte de 2 à 5 lobes par cellule avec un maximum de PN à 3 lobes. La cellule leucémique est un grand lymphocyte à cytoplasme abondant très bleu, à noyau rond central contenant lui même en son centre un gros nucléole unique (aspect de cible). Le TGM est normal. syndromes lymphoprolifératifs. Anémie : diminution du taux d’hémoglobine sanguin (<13 g/dl chez l’homme, <12 g/dl chez la femme). Les plaquettes : plaquettes géantes. Prise de sang : tout dépend du contexte Après une prise de sang classique, vous pouvez courir sans risque : le volume de sang prélevé est dérisoire : 30 ml sur 5 l de sang. Vos ongles ne doivent pas dépasser 3mm de long. Une numération plaquettaire élevée peut contribuer à la formation de caillots (thrombus). Elles peuvent être élevées lors de certaines tumeurs. On les rencontre dans toutes les anémies hypochromes relevant d’une anomalie quantitative ou qualitative de l’hémoglobine, notamment dans ce dernier cas dans les thalassémies. Ils sont aussi situés dans les tissus lymphoïdes mais forment la plupart des lymphocytes sanguins circulants (plus de 60%) où ils exercent une fonction de « veille immunitaire Â» du fait de leur durée de vie longue (plusieurs années), de leur recirculation permanente entre système lymphatique et système sanguin et de leur « mémoire immunitaire Â», capacité de reconnaissance d’un antigène. Nous nous rapprochons du moment où il sera possible d’établir un meilleur pronostic individuel de la SEP à partir d’une prise de sang ! lymphocytes. polynucléaires et basophilie. Vous avez activé la version contrastée du site. Dacryocytes : hématies en forme de larme, de poire, de goutte. Ces agrégats sont visibles sur la lame de sang. On les observe surtout au cours des myélodysplasies. Pelger : anomalie des polynucléaires neutrophiles caractérisée par une absence de segmentation du noyau. Aphtes : petites lésions douloureuses de la muqueuse buccale. Corps de Heinz : précipité d’hémoglobine visible soit à l’état frais (en contraste de phase), soit après coloration dite vitale. la lignée rouge (ou érythroblastique) représentant environ 25% de la moelle, faite successivement de proérythroblastes, érythroblastes basophiles, érythroblastes polychromatophiles et érythroblastes acidophiles. Selon la structure des chaînes on reconnaît 3 grands types d’immunoglobuline : Immunomarquage : technique immunologique permettant d’étudier, par des anticorps monoclonaux, les déterminants membranaires ou intracellulaires d’une cellule caractéristiques de son stade de développement. Elle peut être administrée par voie orale, intraveineuse, sous-cutané, intramusculaire ou intrathécal, selon le protocole et le médicament. les lymphomes malins (maladie de Hodgkin et LMNH). Les formes hétérozygotes sont asymptomatiques et se traduisent par une polyglobulie microcytaire et hypochrome. Myélodysplasies primitives : Prolifération pathologique de la moelle osseuse, constituant un véritable syndrome myéloprolifératif  pouvant se transformer en leucémie aiguë. Le tabagisme est responsable de polynucléose chronique. Ces mécanismes sont doubles : Immunité cellulaire : mécanisme de défense mettant en jeu directement plusieurs variétés de cellules immunitaires : Immunité humorale : mécanisme de défense mettant en jeu des populations particulières de lymphocytes B, les plasmocytes et les lympho-plasmocytes, qui agissent en sécrétant des immunoglobulines ou anticorps. Polyglobulies : augmentation du nombre de globules rouges sanguins, au dessus de 5.300.000/µl chez la femme, de 5.700.000/µl chez l’homme. Hématocrite : volume relatif des globules rouges dans un volume donné de sang. Lignées médullaires : elles forment l’ensemble des cellules précurseurs des globules sanguins autres que les lymphocytes. Il est issu de la réunion de concertation pluridisciplinaire (RCP) autour du dossier de l’enfant. leucémie myélo-monocytaire chronique. Réticulocyte : hématie jeune, venant de sortir de la moelle osseuse et gardant pendant 24 à 48 heures des restes d’ADN nucléaire repérables par coloration vitale au bleu de crésyl brillant. En fonction de l’acte, il faudra parfois décaler vos séances ou l’acte lui-même, afin de ne pas fausser les données ou favoriser les blessures. La moelle peut être insuffisante quantitativement (aplasie) ou qualitativement (myélodysplasie). Si vous faites une prise de sang à un enfant, il est préférable que celui-ci s’assoit sur les genoux de ses parents pour plus de confort. Catécholamines : substances permettant le passage de l’influx nerveux entre les neurones. Burkitt (cellules de) : lymphocytes B leucémiques de grande taille, à cytoplasme abondant hyperbasophile, à noyau très fin et nucléolé, ayant dans son cytoplasme et dans son noyau de nombreuses vacuoles. Myélome : dysglobulinémie monoclonale caractérisée par l’élévation d’une Ig pathologique (IgG ou IgA) avec abaissement des Ig normales et une infiltration de la moelle par des plasmocytes plus ou moins dystrophiques. Votre examen ou votre opération en ambulatoire, Informations santé sur Internet et les réseaux sociaux, Centre des affections hépato-biliaires et pancréatiques, Centre d'éducation thérapeutique du patient, Centre de médecine de l'appareil locomoteur & du sport, Accueillir un patient avec un handicap ou un déficit, Adresser votre patient à une consultation, Procédure d’inscription pour l’authentification par code SMS, Guide pour les familles - Unité d'onco-hématologie pédiatrique, Les effets secondaires de la chimiothérapie. Son mécanisme est soit central, soit périphérique. Ceci se traduit dans la sang par la présence concomitante de drépanocytes et de cellules cibles. Ostéomyélosclérose primitive (OMS) : syndrome myéloprolifératif de la trame de soutien médullaire entraînant une sclérose progressive de la moelle responsable d’une grande insuffisance médullaire. » Jacques G., 42 ans Les résultats de vos analyses de sang sont systématiquement envoyés au médecin traitant qui vous les a prescrites. Métastases : tumeurs secondaires qui se développent à partir d’une tumeur primitive suite à la migration des cellules cancéreuses par voie sanguine, lymphatique ou séreuse. Leucémie à prolymphocytes : syndrome lymphoprolifératif très grave, survenant chez des sujets âgés. acquises : toxiques médicamenteux (aspirine), hémopathies malignes (Waldenstrøm, myélodysplasies). Catheter veineux central : petit tube en plastique souple placé dans une veine qui va jusqu’au cœur. Toutes les informations sur les services des HUG pour une hospitalisation ou une prise en charge ambulatoire. Cytaphérèse : technique qui permet le recueil de cellules souches à partir du sang en vue d’une autogreffe; ces cellules sont congelées en attendant leur utilisation. Immunité : ensemble des mécanismes de défense destinés à protéger l’organisme contre les agressions externes (bactéries, allergènes, etc.) Thrombocytoses secondaires : se traduisent par une thrombocytose généralement comprise entre 500.000/µl  et 1.000.000/µl.